Les illuminations de Noël vers 1984 ou 1985 sur la partie élargie de l'avenue et au dessous dans sa partie sud vers l'l'Hôtel de Ville.
Les anciens se souviennent encore de cette ville en pleine reconstruction après la guerre... Saint-Nazaire était plaisante et conviviale, l'avenue de la République en était le moteur, sa partie élargie aérée et colorée, ses magasins nombreux et divers, son architecture audacieuse pour l'époque... Ce site nous entraîne pour une ballade a travers la ville en reconstruction, a partir de 1945, mais surtout au cours des années 1950-60, époque charnière, sans oublier la période 1970-80.
Au second plan; les 2 stades de foot sont sortis de terre, le reste est a construite dont la fameuse "Coupole" qui deviendra plus tard la Soucoupe.
Au fond, les lycées puis l'hôpital et enfin, le château d'eau de l'Ile du Pé.
Photo/ Guy TOUBLANC
PHOTO/ Loïc GUELLIER
Merci a Loïc Guellier pour la photo
Au fond, le quartier du "Petit Maroc" n'est pas encore reconstruit.
Au début du 20e siècle, la demande de création d’un parc des sports au Plessis est portée par les sociétés sportives de Saint-Nazaire : le Vélo Sport de Prézégat, le Vélo Club Nazairien, le Sporting Club Nazairien, la Société de Tir, l’Union des Sociétés de Gymnastique, la Nazairienne, l’Avant-Garde et le boxing Club.
Les maires Vivant Lacour et François Blancho concrétisent le projet dans les années 1920.
Le résultat est un succès. Du vélodrome au stand de tir, les infrastructures sportives sont nombreuses. Moderne, le parc est équipé de l’éclairage électrique, d’une cabine téléphonique, de salles de réunions et de bains-douches.
Un nouveau chapitre s’ouvre pour le sport nazairien. À partir des années 1930, le lieu accueille des événements nationaux. Festivités qui perdurent après-guerre.
Mais la Reconstruction change la donne. Le complexe Léo Lagrange et sa Soucoupe lui volent la vedette. Certaines activités se maintiennent, comme le rugby, mais l’heure de gloire est passée. Abandonné en 2004, il est détruit l’année suivante. Seul son portail d’entrée est conservé.
Signalé par des feux clignotants en 1970 et 1980, ce carrefour était particulièrement dangereux.
Au fond, on édifie la résidence "Duquesne"...
Image / archives de St-Nazaire